mercredi 27 mai 2009

Je de maux intellos du matin

(....................................................................) je me devais de rendre hommage à la mémoire du mime Marceau, au moment où l’on disperse aux enchères ses souvenirs. J’ai pu acquérir cette parenthèse au coup de marteau. Marceau, nom-identifié, inconnu grimé, miroir placide de la dérision d’une génération. Il est survivant. Il me voit. Il grimace chaque matin en me rasant.

Le sourcil est inquiet… Prends garde ! La radio grince. Julien Coupat du fond de sa cellule terrifie la France. Il théorise et prophétise. Ses mots sont des rasoirs tranchants. D’aise, j’ai peur.
Oups ! On a laissé couler l’eau du bain. Guy Debord je me souviens. Me voila propre ! La biscotte est molle le café gris, le spectacle est fini. La journée sera courte, ma patience infinie car l’histoire revient. Je range ma parenthèse.

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